Oliver Hardt à propos de

BLACK DEUTSCHLAND:

 

 

"En s'appuyant sur cinq portraits très denses et quelques épisodes, le film parle de la manière de penser et de ressentir d'une minorité non négligeable en Allemagne.

Ce qui m'a intéressé, c'est comment des images et leur contraire, des projets de vie et leur réflexion médiumnique se conditionnent et s'influencent réciproquement. Et comment se façonne une réalité de société dans laquelle se perpétuent des clichés et des connotations vieux comme le monde; et cela se passe tout à fait indépendamment des bonnes ou des mauvaises intentions des gens. Et bien sûr, il s'agit de la question s'il y a, dans une société qui se définit comme blanche, une possibilité quelconque de ne pas être rassiste."